« La Révolution achevée, la doctrine pénaliste française a traversé deux siècles sans se départir d'une certitude : le sujet de droit capable de supporter la responsabilité pénale est une personne humaine douée d'intelligence et de volonté ». J.-H. Robert, La personne juridique dans la philosophie du droit pénal, éd. Panthéon-Assas, LGDJ, 2001, préface.