DROIT DES SOCIÉTÉS Des clauses de concertation ou d'instruction sont à cet égard stipulées, et le porteur cherche généralement à faire supporter les risques financiers par le donneur d'ordre. La sécurité absolue n'existe pas, ici comme ailleurs, et les créanciers du porteur peuvent saisir les actions (pour éviter cela, il arrive qu'elles soient placées sous séquestre), issue que l'on rencontre aussi en cas de procédure collective du porteur ; ce dernier peut également subir l'effet de la ruine du donneur d'ordre et/ou du bénéficiaire et se trouver enchaîné à la société dont il n'était initialement qu'un associé temporaire. 688