Marie- Christine Esclassan 113 À mon sens, il faudrait sortir d'une situation de déséquilibre dans laquelle, en matière d'évaluation, les moyens d'expertise sont encore très largement concentrés au niveau de l'exécutif, tandis que le Parlement ne dispose que de l'assistance, partagée avec l'exécutif, de la Cour des comptes. Ce déséquilibre ne valorise pas la fonction évaluatrice du Parlement, ce qui peut aussi expliquer l'investissement limité des parlementaires en la matière.