> DOSSIER E.T.A.P. Photo ci-dessus : Atterrissage après un saut d'infiltration sous voile (ISV). Le chuteur emmène un tableau de bord avec ses instruments de navigation. Photo ETAP multimédia Photo du haut : Embarquement de deux équipes de chuteurs ops stagiaires dans le Casa. Les pochettes latérales en bas à droite du conteneur sont utilisées pour l'ouverture assistée depuis la tranche arrière. Photo Michelle Passe Photo du bas : À la fin de leur formation, les chuteurs ops stagiaires sont capables de se poser en équipe sur une zone restreinte (terrain de 30 sur 30 mètres). Photo Bruno Passe que ce qui est nécessaire pour cela. Les instructeurs qui forment ces chuteurs militaires représentent le sommet de la pyramide sur le plan de la maîtrise parachutiste. On ne parle pas beaucoup d'eux sur les centres de parachutisme civils, où certains sont actuellement (ou ont été) très actifs, dans diverses disciplines. On peut très bien faire de la PA ou du voile contact et maîtriser en toute modestie la chute libre avec une charge lourde, en équipe et de nuit. On peut aussi être un "skygod" de DZ ou un pilote tandem acharné et maîtriser le largage de troupe à basse hauteur et en automatique. 53 Mars15:334 paramag.fr Savoir rester discret pour créer la surprise est un des meilleurs atouts des chuteurs militaires, tenus également au devoir de réserve. Leurs performances sont donc moins connues, mais les compétences sont bien là. ■http://www.paramag.fr